Si tu te dis : »Il faut que je change mon alimentation, que j’arrête le gluten, que je fasse du yoga tous les matins, que je médite, que j’évite le stress, que je dorme 8h par nuit, que je… »
Stop. Et prends un grande respiration 🙂
Si tu vis avec l’endométriose, tu as sûrement déjà entendu tous ces conseils bien intentionnés. Et si tu es comme la plupart des femmes que j’accompagne, tu t’es sentie écrasée par des injonctions. Par ce que tu veux en faire trop pour aller mieux dans ta vie avec l’endométriose.
Et si je te disais que tu n’as pas besoin de révolutionner l’intégralité de ta vie pour aller mieux avec l’endométriose ?
😒 La culture de la performance : un piège épuisant
On vit dans une époque où tout doit être optimisé, mesuré, calculé, bref : parfait. Conséquence à tout ça : on se retrouve avec une bonne grosse charge mentale du « bien faire » :
- Scanner chaque ingrédient au supermarché
- Planifier des menus complexes
- S’en vouloir de rater une séance de sport
- S’inquiéter dès que tu ressens un petit stress
- Analyser chaque symptôme comme un échec
A cela suit le cercle vicieux de l’épuisement : Plus tu essaies de faire tout parfaitement, plus tu t’épuises. Plus tu t’épuises, plus les symptômes peuvent s’intensifier. Plus les symptômes s’intensifient, plus tu penses que tu ne fais pas assez d’efforts. Et plus tu culpabilises de mal faire et pas assez faire…
Au final, tu sais ce qui se passe souvent ? On accumule les solutions sans vraiment aller au bout : on essaie 3 régimes différents (conseillés par une copine), on prend un abonnement à des cours de yoga (et on n’y va pas !), on prend une dizaine de compléments alimentaires (à l’aveugle bien sûr – sans avoir été recommandée par un professionnel), on s’impose une routine matinale de 2h…
Résultat ? On passe plus de temps à essayer d’être en bonne santé qu’à vivre sa vie.
🚶♀️ Ce qui marche vraiment : Less is more ou la puissance du « peu mais bien »
La constance plutôt que l’intensité
Ce qui transforme vraiment les choses, ce n’est pas la révolution dans ta vie, mais les petites actions répétées dans le temps avec bienveillance.
Imagine : plutôt que de tout changer du jour au lendemain, tu choisis un seul changement qui te fait du bien. Tu le mets en place avec douceur, sans jugement, jusqu’à ce qu’il devienne naturel. Jusqu’à ce qu’il devienne une habitude. Puis tu en ajoutes un autre. Puis un autre. Et ainsi de suite. Par exemple en démarrant avec l’alimentation : une nouveauté par semaine.
L’importance du cadre sécurisant
Quand on vit avec l’endométriose, on a besoin de prévisibilité et de soutien. Pas de performance ni de pression supplémentaire.
Un cadre sécurisant, c’est :
- Des objectifs réalistes et progressifs (pas « change ta vie en 30 jours ». Spoiler : ça dure 2 mois seulement !)
- Un entourage bienveillant qui comprend tes choix
- Des outils adaptés à qui tu es
- S’autoriser à l’imperfection et aux jours difficiles
Les petits pas qui changent tout
Et si au lieu de tout révolutionner, tu commençais par 5 minutes de respiration par jour. Ça te semble ridicule ? Pourtant, au bout de quelques semaines, tu peux remarquer que tu es moins tendue et que tu dors mieux. Ces 5 minutes cumulées et répétés créent un effet qui va bien au-delà de juste respirer !
🐜 Ce que je vois dans mes suivis : la puissance de la progression douce
Un rythme qui respecte ta réalité
Dans mes accompagnements, je vois à quel point avancer étape par étape fait la différence. Pas de révolution du jour au lendemain, mais une évolution qui s’installe naturellement.
Concrètement :
- On commence par comprendre ton fonctionnement unique
- Je te donne des conseils personnalisés qui te parlent
- Tu les intègres progressivement à ton rythme
- Puis on ajoute d’autres éléments, quand tu te sens prête
L’accompagnement qui fait la différence
Ce qui change vraiment la donne, c’est de ne pas être seule dans ce processus :
- Un regard extérieur bienveillant : pour t’aider à voir tes progrès (même les petits !) et ajuster le cap sans jugement.
- Une approche personnalisée : parce que ce que tu vis avec l’endométriose n’est pas ce que vis ta voisine. Les solutions sont adaptées.
- S’autoriser à aller à son rythme : certaines semaines tu auras envie d’avancer, d’autres non. Et c’est parfaitement normal.
Mes solutions s’adaptent à ta vraie vie
Fini les conseils qui ne fonctionnent que dans un monde parfait. L’idée, c’est de trouver ce qui marche pour TOI :
- Tu as des enfants ? On intègre des pratiques que tu peux faire avec eux.
- Tu voyages souvent ? On développe une routine nomade.
- Tu as des journées difficiles ? On a des plans B bienveillants.
Ce que mes clientes aiment avec mon approche, c’est que les changements arrivent naturellement. Elles ne forcent rien, il ne s’agit pas de faire pour faire et pourtant… ça bouge. Les douleurs s’apaisent, le sommeil s’améliore, le stress diminue. Mais surtout, elles retrouvent une vraie sérénité dans leur quotidien et une grande confiance en leur corps.
💛 La révolution de la bienveillance
Tu n’as pas besoin d’en faire trop
Si tu retiens une seule chose de cet article, que ce soit celle-ci : tu n’as pas besoin de faire tout parfaitement pour aller mieux.
Tu as juste besoin :
- D’un cadre qui te respecte (tes limites, tes capacités, ton rythme)
- De temps (pour que les changements s’installent naturellement)
- De constance bienveillante (plutôt que d’intensité épuisante)
- D’accompagnement (pour ne pas porter ce poids toute seule)
Si tu te sens prête à arrêter de lutter contre toi-même et à commencer à prendre soin de toi avec bienveillance, je suis là !
Aline Demolin
J’accompagne les femmes à retrouver douceur et vitalité au fil de leur cycle